• Date de parution : 30/06/1905
  • ISBN : 9790365214563

Danzas Del Infierno PICQUEUR BART

Concert Band ou Harmonie

Répertoire
Référence : BMP 8015390
48,78

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Musique pour orchestres et ensembles

Description :

Danzas del infierno est la bande originale d’un film imaginaire. Les images ne sont pas concrètes, mais formées dans les imaginations successives du compositeur, du chef d’orchestre, du musicien et enfin de l’auditeur. Le scénario pourrait se dérouler comme suit: The devil’s dance hallAprès une vie agréable mais marquée par le péché, les mes d’Albert et Englebert descendent jusqu’aux tréfonds obscurs de l’enfer. Derrière eux, dans le lointain, résonnent encore les écHos de lamentations terrestres. Au son et dans l’air évolue une vermine venimeuse et gluante. Lorsque soudain s’allume une lumière aveuglante, ils se trouvent parmi des millions de compagnons d’infortune dans unegigantesque salle de bal avec 6 immenses piliers et 6 énormes lustres. 6 laquais annoncent solennellement le diable (leitmotiv), et soudain apparaît sa grande silhouette: Lucifrina ! Une robe de soirée noire profondément décolletée dans le dos. La fente de la robe sur son interminable jambe gauche laisse deviner des jarretelles rouge sang. Elle regarde Albert droit dans les yeux et l’invite ouvrir le bal avec elle. The devil’s tangoC’est par le biais du tango que nous faisons la connaissance de la personnalité double de la diablesse. Séduisante et sophistiquée l’extérieur, et fondamentalement mauvaise et rusée l’intérieur. La danse commence de façon très subtile, les motifs thématiques de fugue servant de métaphore pour son jeu de jambes virtuose. Mais très vite, elle emmène le poeuvre Albert aux quatre coins de la piste, jusqu’ ce que ce dernier s’écroule, épuisé. IntermezzoCherchant un nouveau cavalier, Lucifrina se fraie un chemin parmi ses pupilles fraîchement arrivés. Englebert fait tout pour éviter de se faire remarquer, mais il n’échappe pas son attention. The devil’s waltzDès les premières mesures de la valse, c’est la grande sauvagerie. Les forces centrifuges font complètement perdre pied Englebert, qui ne touche presque plus le sol. Sous la violence de sa partenaire trop grande et trop forte, il se fait piétiner tel point

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